Peuples des forêts primaires : les moyens de l'association.

Informer les consommateurs, citoyens et élus pour les inciter, par solidarité avec ces peuples :
- à renoncer à l’emploi de tout bois de forêt primaire, bois tropicaux, américains, du Nord, de Sibérie..., à n’acheter que des bois et objets en bois de forêts secondaires (de repousse après la destruction de la forêt primaire, en gestion durable (plantations),
- à utiliser le bois de nos forêts en gestion durable pour faire reculer la récession de notre filière bois et le chômage ici, et par solidarité, pour compenser les pertes dues à l’ouragan de décembre 1999...

Réclamer « de l’éthique sur l’étiquette » pour que tous les bois et objets en bois puissent être identifiés. Pour des achats responsables et solidaires, l’étiquette doit indiquer :
* noms scientifiques de genre, d’espèce, et nom commercial Les bois
* pays d’origine doivent être
* éco-label : actuellement il n'y a aucune certification fiable (par exemple, les certifications FSC et MTCC).

Demander aux élus, - engagement citoyen exemplaire et remarquable - de faire voter, par le Conseil Municipal, une motion faisant de leur commune, une « commune sans bois tropicaux de forêt primaire », pour les bâtiments communaux, leur mobilier, les mobiliers urbains et de jardin.

Information dans les établissements scolaires sur le thème de la déforestation et des peuples menacés, dans le cadre de l’Education aux Droits de l’Homme, à l’Environnement, au Développement Durable et à la Solidarité Internationale.

L’association apporte ou présente à son stand : panneaux informatifs, vidéo, livres à lire, reconnaissance des bois à l’aide d’échantillons, et distribue des documents.